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8 mai 2011 7 08 /05 /mai /2011 19:44

arthur_rimbaud_1854-1891.jpg

 

On connaît ses amours tumultueuses avec Verlaine.

 

On connaît le portait de  l'éternel adolescent rêveur aux beaux yeux clairs. 

 

On connaît le Bâteau Ivre mais depuis combien de temps  ne s'est on pas laissé bercer et guider par les vers de ce grand poête. C'est ce que nous propose la semaine des Nouveaux Chemins de la Connaissance consacrée à Baudelaire. 

 

Je vous la conseille rien que pour entendre la lecture parfaire des poètes. Les débats sont aussi de grande qualité. Ils montrent la polysémie et l'ouverture des textes, les immenses champs qui s'ouvrent au lecteur attentif. 

 

Emission du 28 mars 2011, la première, c'est ici  et puis il suffit de se laisser guider par le texte. 

 

verlaine-troyat.jpgJ'en profite également pour vous conseiller la biographie de Verlaine par Henri Troyat.

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24 avril 2011 7 24 /04 /avril /2011 19:07

Progessivement, Quelques Grains déménage à cette nouvelle adresse : 


www.quelquesgrains.fr

 

Vous pourrez y retrouver mon carnet de voyage sur Rome.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Vers le Mont Janicule -->

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24 avril 2011 7 24 /04 /avril /2011 11:20

En cette année de célébration du 150e anniversaire de l'Unité Italienne, la Fabrique de l'Histoire vous propose une semaine consacrée à ce sujet. 

 

Je vois recommande particulièurement  le débat du 17 février 2011 qui revient sur l'ensemble de processus de l'unification italienne. Les intervenants reviennent sur le rôle joué par la Monarchie pour rassembler ce peuple épars, sur l'opposition de l'Elgise qui exerçait alors à Rome un pouvoir temporel fort. Enfin, le débat analyse ces événements à l'aune du présent où Le Parti sécésionniste de Ligue du Nord réalise de bons scores  électoraux dans le Nord de l'Italie depuis de nombreuses années. 

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18 avril 2011 1 18 /04 /avril /2011 21:33

Suite et fin de la série d'Emissions consacrée par la Fabrique de l'Histoire au monde arabe. 


 L'émission du 7 février  est consacrée à la formation des partis politiques et leur rôle jusqu'à aujourd'hui. 

 

On comprend les raisons de la formation d'un parti unique dans le contexte  de l'après guerre où il s'agissait de faire bloc contre la puissance coloniale. Les raisons de leur évolution, les alliances formées avec les autres forces de la société pour se maintenir au pouvoir sont décrites. 

 

Le débat est quelque peu compliqué pour celui qui est néophyte dans le sujet. Notamment, j'aurais aimé que la naissance et la trajectoire dans les différents pays arabes des Frères Musulmans soient clairement explicitées. 

 

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17 avril 2011 7 17 /04 /avril /2011 18:15

Le film commence par un adage de Rashi qui est un illustre commentateur du Talmud au Moyen Age :  "Prends avec simplicité tout ce qui t'arrive". Le ton est donné et tout le film va être de cette veine. 

 

Le film raconte la vie d'un père de famille juif dont la vie s'écroule sous nos yeux. 

 

Sa femme lui annonce sans ambage qu'elle le quitte pour un ami du couple qui a perdu il y a trois ans sa femme. Sa titularisation est remise en cause par des lettres anonymes dont on comprend en réalité qu'elles étaient envoyées par l'amant de sa femme. Son frère qui dort dans le salon est arrêté par la police car il joue de l'argent. La fille du héros n'a qu'une idée obsessionnelle : se laver les cheveux. Le fils fume du sheet en écoutant Jefferson Airplane, vole de l'argent à sa soeur et participe aux combines de son oncle. 

 

Devant ces péripities, le personnage principal réagit en honnête homme mais cela ne fait qu'empirer les choses. Sa femme lui enjoint ainsi de se comporter en homme sérieux, sous-entendu comme son amant. Ce dernier materne aussi le héros à un tel point que cela devient dérangeant. Celui-ci est balloté d'une scène à l'autre, d'un épisode de sa vie à l'autre, sans pouvoir reprendre le dessus ou influer sur le cours des choses. On le voit ainsi souvent perdu dans des vues de plongée comme si le spectateur adoptait le point de vue omniscient de Dieu, assailli de doutes, de questions et de problèmes. Et les deux rabins qu'il consulte ne lui apportent aucune réponse.

 

Les frères Coen multiplient d'ailleurs les allusions aux notions de destin, de fatalité.

 

 

'Si parfois les choses s'arrangent mal, c'est que çà devait pas se faire"

 

"C'est l'occasion de voir le monde tel qu'il est "

 

"çà m'est tombé desus comme la foudre"

 

"Il n'est pas toujours facile de déchiffrer ce que Dieu s'évertue à nous dire"

 

"On ne peut jamais être sur de ce qui va arriver et même si vous ne comprenez rien, aux partiels, il me faudra une démonstration."

 

"N'avoir rien fait ne peut pas être mal"

 

 

 

Ils entourent également leur personnage principal d'un univers fait de signes et de symboles qui eux aussi restent indéchiffrables voire qui tombent dans l'absurde.

 

montage les signes a serious man

 

Le héros est ainsi filmé devant un grand tableau noir remplit de signes mathématiques. 

 

Ils le montrent allant régler pour la énième fois l'antenne de télévision à la demande de son fils qui semble ne voir dans cette opération que la seule utilité que son père peut avoir pour lui. Dans les moments les plus dramatiques, il n'hésite pas de rappeler à son père, la persistance du problème de réception de la télévision. 

 

Et l'oncle sur le canapé du salon qui soit disant recherche une formule mathématique magique trace sur les innombrables pages de son cahier des dessins obsessionnels.

 

A l'école juive, on parle évidemment l'hébreu mais aucun sous titre n'aide le spectateur 'goy" qui se retrouve ainsi complètement perdu. 


Le médecin recherche à l'oscultation les signes d'une maladie dont on ne saura rien si ce n'est qu'elle est grave puisqu'à la fin du film,  notre père de famillen est convoqué au cabinet médical pour en parler de vive voix. 

 

Le second rabin raconte l'histoire d'un dentiste juif qui a vu un jour dans le moulage de la dentition d'un patient une inscription juive indiquant "aidez moi". Quelle est l'explication du rabin ? aucune . La solution trouvée par ce dentiste boulversé de cette découverte ? aucune. 

 

Dernier moment d'incompréhension, la confiscation du balladeur par l'instituteur de l'école juive et son air dubitatif devant le fonctionnement de l'appareil et le genre de musique délivrée.

 

Que dire de l'anecdote du début : dans un couple de paysans polonais, l'homme dit à sa femme qu'il a recontré un lointain parent. La femme lui explique qu'il est mort il y a trois ans. Sur ce, le dit parent frappe à la porte . Pour en avoir le coeur net, la femme le poignarde.  Le parent quitte la maison, peu affecté physiquement par ce poignard planté en plein coeur. Etait il vraiment le diable ? Qu'en tirer par rapport au sujet du fim ? Que pour connaître la vérité, il faut user de moyens extrêmes, que la foi permet de distinguer le bien du mal ? Que le mal se cache derrière les choses les plus anodines comme les rencontres ? 

 

C'est finalement là que le film des frères Coen blesse. Si on est tour à tour amusé, peiné, gêné devant l'accumulation des ennuis du héros, on se retrouve dans la même situation que lui, sans pouvoir tirer aucune leçon de l'heure et demie qui vien de s'écouler. Quel est le propos des réalisateurs ? Si c'est de montrer l'absurdité et la cruauté de la vie quotidienne, c'est une chose déjà connu depuis longtemps et la forme du film n'a rien d'original ? Si c'est de nous indiquer que le mieux est encore de prendre les choses comme elles viennent, rien de particulièrement profond. 

 

Bref, on reste quelque peu perplexe. 

 

Finalement que reste-t-il ? des scènes drôles car absurdes où l'on sourit de l'incompréhension de  chacun des personnages de son entourage et de son environnement. Il en va ainsi de l'étudiant étranger qui ne comprend pas pourquoi le héros ne pourrait pas accepter de modifier sa note contre de l'argent et du père de l'étudiant qui répète inlassablement qu'il y a un choc des civilisations.

 

a serious man le voisin chasseurDe même, le voisin qui empiète peu à peu sur la propriété voisin et qui rentre de la chasse avec un cerf entier sur son toit. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour avoir une seconde critique, également circonspecte de ce film, je vous conseille http://cine-partout-toutletemps.over-blog.com/categorie-11307337.html

 

Retour à l'orientation générale de la Rubrique Cinéma

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16 avril 2011 6 16 /04 /avril /2011 09:01

Au moment du printemps arabe, la Fabrique de l'Histoire a choisi de revenir sur une histoire méconnue en France : l'histoire des pays arabes. 

 

- L'Emission du 7 février 2011 revient sur le XIXe siècle, période à laquelle le monde arabe et notamment l'Empire Ottoman prennent conscience de leur retard sur les civilisations occidentales et  où nait une réflexion sur les moyens et les directions à prendre pour combler ce retard. C'est la "Narda", c'est à dire la renaissance arabe. 

 

- L'Emission du 8 février 2011 revient sur la période de l'Entre deux Guerres. 

 

- L'Emission du 9 février 2011 est un documentaire sur les années de règne du roi Farouk en Egypte et sur la chute de ce régime. Ce documentaire est très intéressant, il mêle les témoignages de différents acteurs et notamment de Boutros Boutros-Ghali. Sont retracés les débats de cette époque, la question de l'occupation anglaise, l'influence sur la géopolitique de la région de la création de l'Etat d'israël. Cette émission permet de mettre en perspective la nationalisation quelques années plus tard du Canal de Suez par Nasser. En effet, si cette épisode est bien  connu en France, l'occupation de l'Egypte par l'Empire Brittanique et ses raisons historiques le sont beaucoup moins. 

 

Je rappelle l'excellent débat consacrée aux années Bourguiba pour qui veut approfondir l'Histoire du monde arabe (ici)

 

  Suite et fin de la série -->

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11 avril 2011 1 11 /04 /avril /2011 22:27

 

montage-copie-1.jpg

Quelques émissions qui sortent un peu du commun, qui ouvrent de nouvelles directions, tracent de nouvelles perspectives aux Nouveaux Chemins de la Connaissance 

 

- Emission du 2 mars 2011 sur Georges Brassens. 

L'invité est Philippe Paraire. Il est l'auteur d'un ouvrage mettant face à face Lafontaine et Brassens. Rapprochement inattendu et pourtant, l'art des deux hommes, leur rapport à la société sont proches. L'émission est aussi l'occassion de découvrir des textes moins connus de Lafontaine et de sortir ainsi des sentiers battus. 

 

 

- Emission du 1er mars 2011 sur Andy Wahrol

Un détour vers cet ovni aux cheveux blancs, cet artiste de la banalité, ce miroir de la société de consommation moderne. 

 

- Emission du 7 mars 2011 sur Darwin

Fin de cet grand écart : la vie de Darwin. Une heure pour aller à l'encontre des contresens, des simplifications de cet homme qui a révolutionné la vision des sciences naturelles et a induit des boulversements dans les autres sciences. Ainsi, on apprend que la théorie de l'évolution a philosophiquement ouvert la voie vers la théorie du Big Bang, en permettant de penser l'apparition de nouveaux phénomènes et l'absence de linéarité du vivant et de la géologie. 

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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 19:15

Encore un petit mot sur cette escapade en Normandie. 

 

Honfleur le port

Retour à Honfleur apprivoisée ou plutôt légèrement dévoilée après quelques jours.

 

 

Le petit port est vraiment mignon avec ses petits restaurants tout autour. Les second étages sont occupés par des boutiques et des restaurants dont l'accès se fait par la rue de derrière. Ces boutiques offrent une vue panoramiquesur le vieux port. 

 

 

 

 

Honfleur l'égliseEt puis il y a aussi l'Eglise tout en bois reconstruite par les habitants du village après la guerre de cent ans.

 

Les rue d'Honfleur offrent de nombreuses galeries d'art et toute une vie alors même que nous étions hors saison. Il y a encore des petits commerces, des boucheries, des boulangeries. On retourve même la Belle Iloise qui diffuse les produits de la célèbre conserverie de l'ile bretonne. Je vous conseille le thon à la tomate ou plus exotique, le thon à la noix de coco. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous n'avons pas eu le temps de découvrir tous les musées de Honfleur. Notamment, j'ai hâte de revenir pour voir le musée Eugène Bourdin. En attendant, je ne peux que vous conseillez le musée Erik Satie, très original comme celui à qui il a été consacré.

 

Ecouteurs vissés sur la tête diffusant les oeuvres du compositeur au fil de la ballade, on se ballade dans sa maison natale. On y découvre d'étranges constructions qui illustrent les écrits et les pensées de M. Satie.

 

 

 

Honfleur musée Erik Satie poire

Ainsi, cette énorme poire qui illiustre les compositions pour quatre mains intitulées "Morceaux en forme de Poire". On découvre aussi un étrange portique qui tourne et diffuse de la musique au gré des pédalages des visiteurs. Inscriptions, petits escaliers dérobés, écrits, lectures de textes, tout est  fait pour retracer de manière non académique l'univers de M. Satie.

 

 

 

Honfleur musée erik satie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Conseil Pratique, si vous cherchez un hébergement, je peux vous conseilez le gite de France en plein centre de Honfleur. Un petit endroit charmant qui convient à deux voire trois personnes maximum. 

 

Voici quelques photographies pour que vous puissiez vous faire une idée. 

 

Honfleur le studio 3Honfleur le studio

 

Voici la page du site des Gites de France http://location-gite-chambre-hote.gites-de-france-calvados.fr/gite-rural-caron-francis-a-honfleur-dans-Le-littoral-et-sa-r%C3%A9gion-1867.html

 

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2 avril 2011 6 02 /04 /avril /2011 09:12

Trouville la plage

Troisième jour, découverte de Deauville et de Trouville, les deux villes rivales situées de part et d'autre de l'Houque. 

 

D'abord, Trouville et ses majestueuses demeurres, vestiges d'un temps passé, des premières stations balnéaires où se pressaient l'aristocratie et la riche bourgeoisie parisienne. 

 

Premiers "people", premiers effets de mode. 

 

L'office du Tourisme vend deux dépliants qui permettent de visiter la ville côté pêcheur ou côté baigneur.

 

Côté baigneurs, les planches de Trouville qui débutent au niveau du casino permettent de se plonger dans cette époque révolue.

 

 

 

Trouville La plage les jeuxA cette saison, les installations balnéaires sont dépeuplées, ce qui renforce le sentiment d'une splendeur passée, comme si l'on se trouvait sur un vieux site romain ou grecque où l'on peut imaginer les ombres des grandes dames à ombrelles, des messieurs en costumes de bain. Ce qui me vient instantannément à l'esprit, c'est le livre de Becassine que je lisais enfant, lui même témoin d'une époque révolu. 

 


Trouville La Plage les jeux2

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'arrière du casino délabré accroit ce sentiment de nostalgie. On pourrait presque voir à travers la verrière les ombres de ces personnages du passé. 

 

Trouville Le Casino

 

 

 

 

 

Trouville Le Casino2

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Trouville Le Casino 3

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On croise à la fin de la promenade l'Hotel des Roches Noires où séjourna Marcel Proust. 

 

 

Trouville les planches

Même de temps gris, les couleurs se détachent dans le ciel. Les grandes baies vitrées s'ouvrent sur la mer. Quel

Trouville Les roches noires

plaisir cela doit être d'assister à une tempête installée confortablement derrière une de ces vitres, d'assister aux changements de lumière et de couleur. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Trouville les planches

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Côté pêcheurs, les étals du marché offrent les poissons pêchés dans la nuit. 

 

Les bateaux de pêche sont amarrés sur le canal de la Touque. 

 

Trouville le port 2

 

On emprunte le pont des Belges pour découvrir Deauville.

 

Trouville 0056

L'impression y est moins favorable. Alors que Trouville est construite à flancs de coteaux, ce qui induit des perspectives, des petites ruelles montant à l'assaut de la colline, des volées d'escalier, Deauville s'étend sur une surface plane.

 

Trouville les planches

 

 

 

Ses constructions sont plus massives, le plan de la ville est plus rectiligne. Bref, moins de charme. Même quand on arrive aux célébrissimes planches, on est déçu. Certes, le temps n'est pas radieux mais le défilé des cabines de bain ne donne pas aux lieux un grand charme et devant le grand hotel  de front de mer est gaché par la construction moderne qui abrite la piscine olympique. 

 

deauville les planches

 

 

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2 avril 2011 6 02 /04 /avril /2011 09:12

Etretat 6

Deuxième jour, partis sous le brouillard. Direction : Etretat.

 

 

 Sa falaise dessinant une arche sur la mer, son aiguille creuse qui servi de cachette à Arsène Lupin ....

 

Le temps est couvert, tout est bleu-gris. 

 

 

 

 

 


Etretat2Nous décidons de gravir la falaise. Nous découvrons une vue vertigineuse sur la mer en contrebas. Au loin, on distingue le petit village lové entre les falaises.

 

 

Dès que le chemin de douanier s'éloigne de la falaise et laisse au promeneur le loisir de découvrir le paysage de bocage qui se situe de l'autre côté et où s'étend le golf d'Etretat, tout est calme, on n'entend plus le cri des oiseaux marins, ni le remous des vagues s'écrasant sur la falaise. Tout est calme. Magie de ce lieu où tout peut changer en un instant.

 

Etretat 5

 

 

Le soleil peu  à peu nous réchauffe, le blanc des falaises ressort, il fait presque chaud. Le chemin retour en direction du petit village semble

suivre un tout autre tracé que celui emprunté à l'aller tant le paysage  s'est métamorphosé.

 

Il fait si beau que nous avons déjeuné dehors, sur la jetée sous le regard et les cris des goëlands. 

 

 

 

 

 

 

 

 

Deuxième étape : Fécamp

 

Il fait de plus en plus beau. La campagne resplendit de soleil. 


FecampLe long de la plage, les lumières sont vives, le blanc de la ballustrade contraste avec le bleu de la mer. On se croirait en été en Grêce.  

 

 

Fecamp plage

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Fecamp 0359

Je ne peux que vous conseiller de monter jusqu'au Cap Fagnet qui surplombe Fécamp. On y découvre une vue magnifique sur la ville et on peut y admirer le défilé des falaises, côté sauvage

.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Yport

Et puis, avant de rentrer, escale à Yport. Sur la plage, se trouvent des bateaux  de pêcheurs et la plage est bordée par d'anciennes cabines de bain qui se découpent sur le blanc de la falaise éclairée par le soleil couchant. 

 

 

 

 

 

 <-- Retour sur l'arrivée à Honfleur

 

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